Dans la journée, cet endroit semble abandonné, tandis qu'à l'heure des repas, il est bien difficile de s'entendre parler. Les seuls choses que vous pouvez entendre sont le brouhaha général et le bruit des fourchettes contre les assiettes. Dans un coin, des chaises cassées sont abandonnées et chaque semaine, leur nombre augmente. Un balai traîne sur les côtés. Attention aux petits maladroits !

Tous les élèves restent à l'internat le soir. Malheureusement pour les internes, les dortoirs ne sont pas mixtes. Le premier étage est réservé aux garçons, le deuxième aux filles et enfin quelques chambres à chaque étage sont réservées aux surveillants. Les internes sont deux ou trois par chambre. Ni plus, ni moins.

Eh oui, ce n'est pas parce que vous êtes dans un internat qu'il n'y a pas de cours. Il y a environ deux classes par niveau parfois plus, moins pour les plus âgés. Le travail n'est pas plus difficile qu'ailleurs, il est cependant bien plus strict. Les professeurs attendent beaucoup de leurs élèves.

Les jardiniers de l'internat travaillent d'arrache pied afin de rendre de beaux parterres à leurs internes. En parlant de parterres, ceux-ci sont bien souvent piétinés par les internes qui se fichent pas mal du paysage. Un parc est un parc après tout, n'est-ce pas ? Qui se préoccupe de respecter le travail des jardiniers ?

L'internat a la chance de posséder une bibliothèque riche d'informations. Nombre d'internes viennent finir leur journée ici afin de travailler au mieux pour leur devoir. Les amateurs de lecture peuvent aussi y trouver leur bonheur parmi les nombreux rayonnages qui la composent.

Cet endroit est certainement le plus apprécié des internes. Ils s'y retrouvent souvent pour jouer au billard ou aux jeux vidéos et certains, préfèrent même venir ici plutôt qu'ouvrir des bouquins et se mettre à travailler. Chacun ses priorités !

Le fameux toit. Le lieu de tous les rendez-vous nocturnes et clandestins. En journée, peu de gens s'y rendent, le plus souvent, à cause du vertige. La nuit, les peurs n'existent plus et les fêtes sont le mot d'ordre. Faites-vous parti des privilégiés ?